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PAPER SESSIONS
Sociology of education

Différences régionales en matière d’offres de formation, de conditions d’admission et de parcours de formation en Suisse : sources, gouvernance et impacts Regionale (session 2 of 2)

Differenzen in den Bildungsangeboten, Zulassungsbedingungen und Bildungsverläufen in der Schweiz: Ursprünge, Governance und Folgen

From
June 29, 2021 15:00
to
June 29, 2021 16:30
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Organizers

Regula Julia Leemann, Pädagogische Hochschule FHNW; Irene Kriesi, Eidgenössisches Hochschulinstitut für Berufsbildung

Speakers

Lorenzo Bonoli; Jackie Vorpe

Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle IFFP

Miriam Hänni, Irene Kriesi und Jörg Neumann

Eidgenössisches Hochschulinstitut für Berufsbildung EHB

Regula Julia Leemann und Andrea Pfeifer Brändli; Professur für Bildungssoziologie, Pädagogische Hochschule FHNW

Christian Imdorf, Institut für Soziologie, Leibniz Universität Hannover

Ces dernières années, les différences régionales ou cantonales en matière d’offres de formation, de conditions d’admission et de parcours de formation ont fait l’objet croissant de débats et d’analyse. Différentes problématiques ont retenu l’attention, dont l’hétérogénéité des offres concernant « l’éducation et l’accueil des jeunes enfants (EAJE) », les disparités de répartition des élèves entre formation générale et professionnelle dans les filières post-obligatoires, les déséquilibres régionaux des offres de formations professionnelles supérieures ou les diverses conditions d’admission aux hautes écoles cantonales. L’objectif de ce workshop est d’étudier les phénomènes de différences régionales dans la formation en Suisse à la lumière de trois aspects : (1) les sources et les causes, (2) la gouvernance et (3) les impacts sur l’individu et la société, en particulier pour la justice sociale.

Dans un système de formation fortement fédéralisé, le premier aspect s’intéresse aux réglementations politiques dans le champ des offres de formation et des conditions d’admission à l’échelle cantonale, à leurs racines historiques et aux réformes. Il englobe également les distinctions socioculturelles sous-tendant la valence des différentes formes de formation ou de l’accueil extra-familial, mais aussi les structures économiques et les évolutions sociodémographiques dans les différentes régions. Quels éclairages une perspective inspirée des sciences sociales apporte-t-elle sur les disparités régionales et cantonales quant aux offres de formation et à leur accès ?

Le second aspect examine le pilotage des diverses offres de formation dans les régions. On prendra ici en compte les compétences, marges d’action, objectifs, stratégies et justifications des acteurs et actrices du pilotage. Quelles approches des sciences sociales permettent de comprendre la coordination de l’action des acteurs dans la ‘production’ des offres et des accès inégaux en matière de formation ? Quels conflits et controverses de la politique éducative et de la société peut-on reconstruire ?

Le troisième aspect porte sur les impacts des disparités régionales dans les possibilités de formation. En se plaçant sous l’angle de la justice éducative, et par conséquent aussi de la justice sociale, on se demandera dans quelle mesure ces différences se traduisent par des inégalités de perspectives éducatives et de parcours de formation en fonction du lieu de résidence des jeunes et, le cas échéant, comment elles peuvent renforcer ou amortir les inégalités éducatives corrélées à des critères sociaux dans les entités sociogéographiques étudiées. Quelles structures de formation régionales favorisent les parcours débouchant sur l’obtention d’un diplôme du degré secondaire II ou du degré tertiaire ? Quels facteurs accroissent les inégalités genrées ou sociales en matière de formation dans les différents cantons ? Dans quelles conditions les spécificités régionales déterminant les choix de formation renforcent-elles ou atténuent-elles les inégalités des chances en période de crise ?


Auf Deutsch : 

In den letzten Jahren sind die zwischen Regionen und Kantonen unterschiedlichen Bildungsangebote, Zulassungsbedingungen und Bildungsverläufe vermehrt thematisiert und problematisiert worden. Dies betrifft u.a. Differenzen im Angebot der «Frühkindlichen Bildung, Betreuung und Erziehung (FBBE)», Diskrepanzen in der Verteilung der Schüler*innen im nachobligatorischen Bereich auf die Allgemeinbildung und Berufsbildung, regional ungleiche Angebote im Bereich der höheren Berufsbildung oder unterschiedliche Zugangsbedingungen zu den kantonalen Hochschulen. Das Ziel dieses Workshops ist es, solche Phänomene regionaler Differenzen von Bildung in der Schweiz bezüglich drei Aspekten zu untersuchen: (1) den Ursprüngen und Ursachen, (2) der Governance, (3) den gesellschaftlichen und individuellen Folgen, besonders auch für die soziale Gerechtigkeit. 

Der erste Aspekt betrifft im stark föderal organisierten Bildungssystem die politischen Regulierungen bezüglich Bildungsangeboten und Zulassungsbedingungen auf kantonaler Ebene sowie deren historische Wurzeln und Reformen. Im Weiteren sind soziokulturelle Differenzen in Bezug auf Wertigkeiten von unterschiedlichen Formen der Bildung oder von familienexterner Betreuung, aber auch wirtschaftliche Strukturen oder soziodemografischen Entwicklungen in den Regionen zu berücksichtigen. Wie können aus einer sozialwissenschaftlich inspirierten Perspektive solche regionalen und kantonalen Differenzen im Angebot von Bildung und im Zugang erklärt werden? 

Der zweite Aspekt fragt nach der Steuerung der regional unterschiedlichen Bildungsangebote. Dazu sind die Zuständigkeiten, Handlungsspielräume, Zielsetzungen, Strategien und Rechtfertigungen der steuerungsrelevanten Akteure in den Blick zu nehmen. Welche sozialwissenschaftlichen Zugänge erlauben es, die Handlungskoordination zwischen den Akteuren in der ‘Herstellung’ der ungleichen Bildungsangebote und -zugänge zu verstehen? Welche bildungspolitischen und gesellschaftlichen Konflikte und Dispute können rekonstruiert werden?

Der dritte Aspekt interessiert sich für die Folgen regional differenter Bildungsmöglichkeiten. Insbesondere ist aus der Perspektive von Bildungsgerechtigkeit und damit auch sozialer Gerechtigkeit zu fragen, inwiefern diese Differenzen zu Ungleichheiten in den Bildungschancen und Bildungslaufbahnen in Abhängigkeit vom Wohnort führen und ggf. Bildungsungleichheiten nach sozialen Merkmalen in den untersuchten soziogeografischen Einheiten verstärken oder abschwächen. Welche regionalen Bildungsstrukturen befördern Bildungslaufbahnen, die zu einem erfolgreichen Abschluss auf Sekundarstufe II oder Tertiärstufe führen? Welche Faktoren führen zu einer Vergrösserung von Bildungsungleichheiten nach Geschlecht oder Herkunft im interkantonalen Vergleich? Unter welchen Bedingungen verschärfen regionsspezifische Bildungsmöglichkeiten in Krisenphasen die Bildungsungleichheit bzw. schwächen diese ab?

La formation professionnelle suisse entre cadre nationale et autonomies cantonales

Lorenzo Bonoli; Jackie Vorpe
Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle IFFP

Malgré le fait que le système suisse de formation professionnelle soit réglé depuis 1930 par une loi fédérale, les 26 cantons qui composent la Confédération helvétique jouissent d’une certaine marge de main-d’œuvre pour implémenter au niveau régional les dispositions fédérales (Bonoli 2012). Cela se traduit dans des différences parfois importantes entre les cantons, notamment en ce qui concerne la participation à une formation professionnelle duale dont les taux varient de 80% des jeunes de la classe d’âge 15-18 dans le canton d’Appenzell Intérieur à 21% dans le canton de Genève (Berner & Bonoli 2018). Comment comprendre une telle situation ? Comment un système national peut-il tolérer de telles différences ? A partir de quand apparaissent-elles ? Et quels facteurs peuvent expliquer leur émergence ?

Notre contribution va répondre à ces questions en deux moments. Tout d’abord, à partir d’une reconstruction historique du processus d’institutionnalisation du système de formation professionnelle suisse, il s’agira d’expliquer les conditions de possibilité institutionnelles des différences cantonales. Il s’agira notamment de montrer comment depuis les premières mesures de coordination nationale du domaine au tournant de 1900, la politique fédérale de la formation professionnelle a toujours laissé une marge de manœuvre importante aux cantons misant sur des « législations cadre » (Späni 2008; Gonon 2018), plutôt que sur des dispositions strictes qui auraient imposé des conditions semblables sur tout le pays.

Une fois explicitées les conditions de possibilité institutionnelles de telles différences notre contribution s’interrogera sur les facteurs (économiques, pédagogiques, politiques et socio-culturels) qui ont pu contribuer à l’affirmation de ces différences. Sur la base d’une analyse de l’évolution de la formation professionnelle en Suisse et dans trois cantons (ZH, GE, TI) dans la période décisive de l’évolution de la formation professionnelle suisse constituée par les années 1950-1970, il sera possible de faire ressortir une série de facteurs qui ont fortement influencés les politiques cantonales et qui s’offrent comme élément d’explication pour en comprendre les différences.

Les résultats qui seront présentés se basent sur une double analyse des sources historiques (Lois, messages, données statistiques, rapports, brochures, articles de presse etc.) publiées de 1880 à nos jours, avec un accent particulier sur la période 1950-1970 (SNF 179203). Ces sources nous permettent tout d’abord une reconstruction du processus d’institutionnalisation du domaine qui mettra l’accent sur la tension constante entre régulation fédérale et autonomie cantonale. Ensuite, au travers d’une analyse des discours (Keller 2011, Landwehr 2008), il sera aussi possible de relever les arguments principaux qui vont accompagner les prises de décision dans ce domaine dans les trois cantons (ZH, GE, TI) ici étudiés. Cette analyse nous permettra de montrer des différences parfois subtiles entre les politiques cantonales et les conceptions mêmes de la formation professionnelle.

De façon générale, notre approche nous permettra ainsi d’interroger l’unité du célèbre « modèle suisse » de formation professionnelle et montrant comment celui-ci se composent de sous-systèmes avec des politiques et des conceptions parfois sensiblement différentes.

Keywords:  Histoire; Suisse; formation professionnelle; systèmes cantonaux; fédéralisme 

Kantonale Disparitäten in den Berufsmaturitätsquoten – Die Rolle von Zulassungsbedingungen

Miriam Hänni, Irene Kriesi und Jörg Neumann
Eidgenössisches Hochschulinstitut für Berufsbildung EHB

Die in den 1990er Jahren eingeführte Berufsmaturität (BM) ist heute im schweizerischen (Berufs-) Bildungssystem gut etabliert. 2018 haben knapp 16% der jungen Erwachsenen während (BM1) oder nach der beruflichen Grundbildung (BM2) eine Berufsmaturität absolviert. Am häufigsten schlossen 2018 Jugendliche im Kanton Tessin (21.9%) eine BM ab, am seltensten im Kanton Basel-Stadt (9.6%) (Bundesamt für Statistik (BFS), 2020). Diese Unterschiede sind nicht allein mit den verschiedenen kantonalen gymnasialen Maturitätsquoten oder dem unterschiedlichen Anteil Jugendlicher, die eine Berufsbildung absolvieren, erklärbar. So verbindet beispielsweise der Kanton Tessin eine hohe BM- mit einer hohen gymnasialen Maturitätsquote, während Basel-Stadt eine hohe gymnasiale Maturitätsquote, aber eine tiefe BM-Quote aufweist.

In der Literatur werden die Ursachen für solche Kantonsunterschiede in der zugeschriebenen Wertigkeit verschiedener Bildungswege (Hägi, 2019), divergierenden Angebots- und Opportunitätsstrukturen (Kost et al., 2017) sowie in der kantonalen Wirtschafts- und Arbeitsmarktstruktur (Glauser & Becker, 2016) verortet. Wir konzentrieren uns im vorliegenden Beitrag auf die Opportunitätsstrukturen in Form der Zulassungsbedingungen zu den Berufsmaturitätsschulen, für die die Kantone zuständig sind. Entsprechend unterscheiden sie sich zwischen den Kantonen beträchtlich. Wir untersuchen deshalb, wie kantonal unterschiedliche Zulassungsbedingungen die Wahrscheinlichkeit beeinflussen, eine Berufsmaturität (BM1 und BM2) zu absolvieren und erfolgreich abzuschliessen. 

Theoretisch gehen wir davon aus, dass der Übergang in eine Berufsmaturitätsschule vom  Zusammenspiel individueller und institutioneller Faktoren abhängt (Heinz, 2009; Walther, 2020), wobei die Zugangsregeln zur BM die Rahmenbedingungen der individuellen Bildungsentscheidungen vorgeben. Diese Zugangsregeln bieten unterschiedlich hohe Hürden. Während in gewissen Kantonen eine Aufnahmeprüfung bestanden werden muss, um Zugang zur Berufsmaturitätsschule zu erhalten, ist in anderen ein prüfungsfreier Zugang möglich, wenn ein bestimmter Notendurchschnitt erreicht wird oder die Empfehlung von Lehrpersonen vorliegt. Wieder andere Kantone setzen für den prüfungsfreien Zugang einen Vorbereitungskurs voraus. Jugendliche und junge Erwachsene stellen diese Opportunitätsstrukturen bei der Entwicklung von Bildungsaspirationen und beruflichen Zielen in Rechnung (Heckhausen & Buchmann, 2019). Vor diesem Hintergrund gehen wir davon aus, dass obligatorische Aufnahmeprüfungen die höchste Hürde darstellen für den Zugang zur Berufsmaturität und die BM-Quote deshalb mindern.

Unsere Analysen beruhen auf sämtlichen Jugendlichen, die 2012 die obligatorische Schule abgeschlossen und anschliessend eine berufliche Grundbildung mit eidgenössischem Fähigkeitszeugnis (EFZ) aufgenommen haben. Wir verknüpften diese Längsschnittdaten im Bildungsbereich des Bundesamtes für Statistik mit Indikatoren zu den kantonalen Zulassungsbedingungen zur BM1 respektive BM2.

Erste Resultate unterstreichen die Bedeutung der Zulassungsbedingungen. Lernende beginnen häufiger eine BM-Ausbildung in Kantonen mit prüfungsfreier Zulassung als in Kantonen mit einer obligatorischen Aufnahmeprüfung. Auf den erfolgreichen Abschluss haben die Zulassungsbedingungen hingegen kaum einen Einfluss.

Keywords: Berufsmaturität; kantonale Unterschiede; Zulassungsbedingungen; Opportunitätsstrukturen 

Zugangschancen zum Gymnasium auf der Sekundarstufe II – Zur Bedeutung von kulturellen, politischen und ökonomischen Faktoren sowie kantonalen Bildungsstrukturen und deren Folgen für die Bildungsgerechtigkeit

Regula Julia Leemann und Andrea Pfeifer Brändli; Professur für Bildungssoziologie, Pädagogische Hochschule FHNW
Christian Imdorf, Institut für Soziologie, Leibniz Universität Hannover

Untersuchungsgegenstand

Der Bildungsförderalismus in der Schweiz (Gonon et al. 2016) erlaubt den Kantonen, bezüglich des Zugangs zum Gymnasium eigenständig über Angebotsstruktur und Verteilungsregeln bestimmen (MaagMerki 2016). Als Folge davon differiert der Gymnasialbesuch auf der Sekundarstufe II in den Kantonen zwischen 13% und über 30% und diese kantonalen Ungleichheitsverhältnisse sind trotz Wachstum des Gymnasialanteils ziemlich stabil geblieben sind (SKBF 2014). Diese verweist auf pfadabhängige Entwicklungen, basierend auf soziokulturellen und wirtschaftlichen Strukturen in den Kantonen. Diese stehen in Wechselwirkung mit regional unterschiedlichen Aspirationen der Familien (Glauser&Becker 2016; Brühwiler et al. 2014) sowie einer sozialräumlichen Varianz in der Nachfrage des Arbeitsmarktes an hochqualifizierten Absolvent*innen (Glauser&Becker 2016). 

Forschungsstand, Fragestellung

Die bildungssoziologische Forschung hat sich bisher mit der Frage befasst, welche Merkmale der Schüler*innen den Zugang zum Gymnasium beeinflussen (für eine Übersicht Kriesi&Leemann 2020). Weibliche Jugendliche mit guten Schulnoten, die das Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen besuchen (das strukturell die Zugangschancen determiniert!), deren Eltern einen hohen Bildungsabschluss erreicht haben und aus dem Ausland immigriert sind, sind im Vorteil.

Vernachlässigt wurden bisher folgende Fragestellungen, welche in diesem Beitrag untersucht werden: 

(1) Wie können die kantonal ungleichen Anteile im Gymnasialbesuch erklärt werden? Welche Rolle spielen kulturelle und wirtschaftliche Faktoren bei Kontrolle der individuellen Faktoren?

(2) Welches sind die Folgen der kantonal ungleichen Anteile im Gymnasialbesuch für die Bildungsgerechtigkeit? 

(2a) Wie beeinflussen die kantonalen Bildungsstrukturen auf Sekundarstufe I und II die Wahrscheinlichkeit, ins Gymnasium überzutreten? 

(a) Verändern die Anteile im Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen auf Sekundarstufe I die Zugangschancen? 

(b) Verändern die Anteile an Gymnasialbildung auf Sekundarstufe II die Zugangschancen?

(2b) Welche Folgen resultieren für die Bildungsungleichheiten nach Herkunft und Geschlecht?

Theoretischer Rahmen, Hypothesen: 

(1): Die divergierenden Bildungskulturen zwischen der lateinisch- und der deutschsprachigen Schweiz (Geser 2003; Cattaneo&Wolter 2016), die vorherrschende politische Kultur (Rosenmund 2011) sowie das Ausmass der Beschäftigung im Dienstleistungsbereich sind für die unterschiedlichen Anteile im Gymnasialbesuch mitverantwortlich. 

(2a) Ein tiefer Anteil SuS im Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen sowie ein hoher Anteil Gymnasialbildung in einem Kanton vergrössern die Zugangschancen der SuS aus dem Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen. 

(2b) Bei einem hohen Anteil von SuS im Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen sowie bei einem tiefen Anteil an Gymnasialbildung auf Sekundarstufe II ist eine höhere Konkurrenz vorhanden (SKBF 2014). Sozial benachteiligte Familien verzichten auf den Gymnasialbesuch (Kosten-Nutzen-Risikoüberlegungen). 

Daten, Methoden

Die Analysen erfolgen im Kontext des SNF 10001A_188906 mit den „Längsschnittanalysen in Bildungsbereich“ (LABB) des BFS. Mittels Mehrebenenanalysen untersuchen wir den weiteren Bildungsweg von Absolvierenden eines Erstabschlusses der Sekundarstufe I im Jahre 2012 (N= ca. 84‘000) über einen Zeitraum von 24 Monaten in Abhängigkeit von individuellen (L1), gemeindespezifischen (L2) und kantonalen (L3) Faktoren. 

Erste Ergebnisse

(1) Die kantonal ungleichen Anteile beim Übertritt ins Gymnasium können durch kulturelle, politische und ökonomische Faktoren der Kantone erklärt werden. 

(2a) Die kantonal unterschiedlichen Anteile im Leistungsniveau mit erweiterten Anforderungen und an Gymnasialbildung führen zu kantonal ungleichen Zugangschancen. 

(2b) Die Ungleichheit nach Herkunft (soziale Herkunft/Nationalität) verändert sich – im Gegensatz zu jener nach Geschlecht – aufgrund unterschiedlicher kantonaler Bildungsstrukturen. 

Keywords: Zugangschancen; Gymnasium; Sekundarstufe II; kantonale Unterschiede; institutionelle Faktoren